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GSTF se réjouit de la percée en matière de politique d'asile

Le SEM a accepté le «Livre vert» ainsi qu'un permis de séjour de l'Inde comme preuve d'identité dans les demandes de difficultés

Le Secrétariat d'État aux migrations (SEM) a accepté de légaliser trois Tibétains vivant dans le canton de Saint-Gall sans papiers valides. (Le lien vers le rapport est ici). Seul le canton de Zurich fait également les demandes correspondantes. Ce possible changement de pratique donne de l'espoir à la communauté tibétaine en exil.

Le GSTF fait campagne pour une solution humanitaire dans la politique d'asile des réfugiés tibétains depuis des années et considère cette percée comme un succès et comme le résultat de ses efforts continus. Il en va de même pour l'acceptation d'un postulat du Conseil national, qui exige un rapport détaillé sur la situation des Tibétains en Suisse, notamment en ce qui concerne la liberté d'expression et de surveillance. (plus d'informations ici)

En 2018, le GSTF a lancé une pétition avec d'autres organisations tibétaines et la Society for Threatened Peoples (STP) (Lien vers la pétition 2018), afin de mieux protéger les droits des Tibétains en Suisse et en 2021 une pétition (Lien vers la pétition 2021) ainsi que d'autres organisations tibétaines, qui appellent à une solution humanitaire pour les demandeurs d'asile tibétains déboutés qui sont en Suisse depuis de nombreuses années.

Les réfugiés qui demandent l'asile en Suisse sont généralement rejetés s'ils n'ont pas de papiers d'identité. Cependant, de nombreux réfugiés tibétains ne peuvent pas s'attendre à ce que leurs familles au Tibet leur envoient des papiers d'identité qui peuvent prouver leur identité, car cela est dangereux pour eux.

Depuis 2014, les demandeurs d'asile tibétains ne peuvent plus déclarer le Tibet comme leur lieu d'origine ou revendiquer l'apatridie.

Une importante communauté de réfugiés tibétains vit en Inde, qui n'a cependant pas signé la Convention des Nations Unies sur les réfugiés et le Népal voisin a signé un traité d'extradition avec la Chine.

Toutes ces conditions ont conduit environ 250 Tibétains à vivre illégalement en Suisse.

Lire ici le reportage d'Ariane Gigon, publié dans La Liberté le 03.04.2021 avril XNUMX.

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  1. Chers amis du Tibet
    La prétendue percée dans le sens de la légalisation inquiète de nombreux Tibériens rejetés. Que signifie ce geste pour les personnes qui viennent directement du Tibet, celles qui n'ont aucun moyen de présenter un livre vert ou des papiers d'identité indiens?
    Une percée se produira lorsque les Tibétains qui ont vécu avec nous pendant 5 à 10 ans seront autorisés à participer à la vie, autodéterminés et auront accès au travail et à l'éducation.
    Je considère que tout le reste est une «vitrine».
    Soyons courageux pour regarder toute l'histoire tragique et agir; même si l'observateur et ambassadeur chinois ne l'aime pas.
    Ursula Fisher

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